lundi 25 mars 2013

Brunch au Marival


Quelqu'un nous avait parlé du Marival Résidences & World Spa et nous avait dit que tous les dimanches, entre 9h30 et 17h00, on servait un brunch.  Comme c'est sur la route que nous prenons pour nous rendre au Starbucks du Paradise Village pour profiter d'internet (quand ça ne fonctionne pas au condo) et prendre un bon café, on s'y arrête un matin.  Il y a une grande affiche à l'entrée avec une photo d'un plat qui est très appétissant avec un prix indiqué de 250 pesos par personne (20 $ cad).  Une jeune femme s'approche de nous, Vicky, et nous explique ce qu'inclus le brunch et qu'il est offert au coût de 250 pesos pour 2 personnes.  Wow!  Pas cher du tout.  Nous planifions y aller le dimanche suivant. 

Et quel brunch!  Des œufs de toutes sortes, pochés, en omelette, tournés, miroir, bacon, saucisses, fruits, pain, gaufres - beaucoup de choix.  Café, jus d'orange, mimosa ou juste du mousseux. 

24 février - j'attends en ligne pour les oeufs

Un petit verre de mousseux avec ça?

Bon, qu'est-ce que je cherche encore?

Ce matin-là, on nous assoit sur la terrasse intérieure.  Vers 12 h 30, le buffet change et on sert maintenant du rôti de bœuf, des crevettes préparées à la façon du chef (un peu épicées à mon goût), des côtes levées, légumes vapeur, des pâtes, et des petits desserts.  Et avec ça, du vin ou autre boisson - tout ce que vous désirez ou presque.  Et tout ça pour le même prix!

En plus d'un beau décor sur une terrasse près d'une piscine avec musiciens cubains qui agrémentent la journée.

Les musiciens au bord de la piscine

Nous avons bien apprécié cette sortie et nous revenons avec Michèle le dernier dimanche avant notre retour.

Cette fois-ci on nous fait goûter à de délicieux sushis.  On veut nous faire connaître le nouveau restaurant récemment ouvert sur le site.  J'ai apprécié bien que le sushi ne soit pas mon plat préféré.

Michel mange des sushis

En attendant le repas, on nous sert quelques mimosas que nous accompagnons de fruits et de fromage.  Ensuite, nous y allons avec le mousseux seulement.  Nous sommes chanceux cette fois-ci, on nous a installé à une table tout près de la piscine sous un parasol, par une magnifique journée ensoleillée.

Michel et moi

Et Michèle et moi

Quel beau ciel bleu

C'est la première fois que je vois une fleur comme ça
 
 
Et voici l'arbre dans lequel elle pousse

Ce soir-là, aucun de nous n'a soupé.  Trop mangé.

Nous sommes déjà le 10 mars et c'est presque la fin de notre voyage.


Le soir du 10 mars 2013
Un autre coucher de soleil à couper le souffle



mardi 19 mars 2013

Le retour - quel voyage!



Quelle journée que ce 15 mars 2013.  C'est le retour déjà.  Le temps s'envole.  Deux mois et une semaine qui sont partis comme la neige fond au soleil!

Les valises sont bouclées, les tiroirs et armoires vérifiés qu'on y laisse rien de valeur et les poubelles vidées.  Ça y est, c'est la fin de nos belles vacances au soleil.

Nous descendons sur la plage, disons adieu à Joaquin, le gardien de sécurité de l'entrée de la plage, saluons quelques voisins de vacances qui les chanceux restent plus longtemps. 

Nous remontons chercher les valises. Nous prenons le lunch préparé pour le voyage - les compagnies aériennes ne servent plus de lunch maintenant, elles ne donnent qu'un sac de pretzel et une boisson gazeuse, café ou eau.  Vaut mieux arriver préparés.  Les clés sont remises à Jorge, le "property manager". 

Nous nous rendons à l'entrée du complexe pour prendre un taxi pour l'aéroport.  Nous partons cinq adultes avec une valise chacun plus plus plus.  Ça nous prend une mini-van.  Coût 400 pesos, incluant le pourboire.  Ça n'est pas cher payé - environ 32-33 $.

Enregistrement des bagages au comptoir, nous saluons le couple qui a partagé le taxi avec nous - eux se dirigent vers Atlanta et nous passons par Détroit.  Nous croyions tous partir sur le même avion, mais Delta ont plusieurs vols ce jour-là avec diverses connexions.

Nous nous rendons déjà à notre porte d'embarquement mais il faut passer la sécurité.  Je passe sans problèmes, Michèle aussi mais Michel lui a toujours un sou qui traîne dans sa poche ou sa ceinture, mais non, on trouve son peigne en métal (ce peigne se referme dans un petit caisson en métal et a peut-être l'air d'un petit canif).  Ça a passé partout avant aujourd'hui, à Montréal avant de partir, à Atlanta à la sécurité et même à Mexico à notre arrivée au Mexique, mais ici à Puerto Vallarta ça ne passe pas. 

Il faut être à la porte B-6 pour 12 h 49 - notre vol est prévu décoller à 13 h 39, et ensuite retardé à 13 h 54.  Ce qui nous donne le temps d'un dernier petit verre de vin que nous payons le prix d'une bouteille.  (À la Mega, une bouteille de 750 ml d'un vin chilien intéressant peut être payé entre 6 à 8 $ - à l'aéroport, on nous vend un verre 9 $). Pas grave, on ne ramène pas les pesos.

La tour de contrôle
vue de l'avion

Aéroport international de Puerto Vallarta

Nous embarquons, notre avion est en ligne pour le décollage et le pilote ramène l'appareil.  Il nous avise qu'ils ont un léger problème technique et qu'il faut attendre de communiquer avec Atlanta.  Attente de 15 minutes, un autre appel du pilote qui nous dit qu'il nous faut attendre encore un peu - nous sommes toujours assis sur le tarmac.  OK, finalement, il semble que ce ne soit pas un gros problème (on nous dit que c'est le air conditioning pack!  Je ne sais pas ce que c'est, mais le pilote nous dit que ça arrive et qu'il n'y a pas grand chose là).

15 mars 2013 - décollage


Un peu floue la photo, mais la ligne montre
l'endroit où nous avons habité durant 9 semaines

Et pendant environ la première heure du vol, il y a beaucoup de turbulences.  Tellement que les agents de bord ne sortent pas les chariots de rafraîchissement.  Le pilote nous revient à quelques reprises pour nous dire qu'il a même amené l'appareil jusqu'à 31,000 pieds qui est l'altitude permise sur cet appareil et rien à faire, ça brasse toujours.

Sur cet Airbus 320, aucun film, aucune musique.  RIEN!  C'est la nullité totale.  Mon Ipod est dans ma valise, j'ai fait 2 sudoku du magazine Sky, j'ai mangé 1 sandwich, bu 2 verres de vin et été au moins 2 fois à la toilette.  C'est long 4 heures sans divertissement.  Dehors il fait noir - pas grand chose à voir à part les grandes villes que nous pouvons apercevoir en bas, mais on ne sait pas lesquelles elles sont. 

Nous avons environ une demi-heure de retard - ça me stresse un peu car ça ne nous laisse tout juste un peu plus d'une heure pour notre connexion à Détroit - et on ne connaît pas vraiment l'aéroport.  Au moment de l'atterrissage, l'agent de bord demande aux passagers qui n'ont pas de connexion de rester assis et de laisser sortir ceux qui ont une connexion.  Je crois que il y a beaucoup de monde sourd sur ce vol! 

Première chose à faire en sortant de l'avion, nous rendre aux douanes américaines, au moins 3 tapis roulants à la course et ensuite récupérer nos valises pour passer à l'immigration.  On nous envoie au tapis numéro 8.  Tout le monde attend.  Des préposés sont aussi en attente avec nous pour aider les gens qui ont besoin d'assistance.  Au bout de 15 minutes - oups! désolés, nous nous sommes trompés, les valises sont au tapis numéro 2.  Quelle organisation. 

Immigration américaine.  À la question, apportez-vous de la nourriture?  Je suis honnête - bien sûr délicieux sandwich au jambon/fromage fait maison pour le voyage.  Saviez-vous que vous n'avez pas le droit d'importer aux USA du jambon qui provient du Mexique (même si vous ne faites que transiter par le pays)?  Alors que pensez-vous qui arrive?  On saisit nos sandwiches et on passe nos valises aux rayons X.  Juste au cas où nous aurions caché un jambon dedans peut-être!?!

OK, vous pouvez y aller!  Merci!

Maintenant, il faut aller au dépôt de bagages pour envoyer nos valises sur notre l'avion de Montréal.  Ensuite, où faut-il aller?  On nous dit de nous rendre au second niveau.  Escalier roulant droit devant.  Nous montons et croyons être au second niveau mais non nous sommes au premier niveau.  Il y a lower level, first level, second level!!!  L'explication donnée n'était pas très claire!  Il faut prendre l'ascenseur. 

Finalement là, nous devons passer la sécurité encore une fois!  Et c'est long!  Un seul agent à notre arrivée et au moins une vingtaine de personnes devant nous.  Un autre agent arrive.  Ces premiers agents sont là pour vérifier votre passeport et votre carte d'embarquement.  Et ils sont trrrrrès zélés!!! 

Ensuite, il faut passer à la fouille.  Et eux ils utilisent la machine à rayons-X tant récriée.  (Rien de tout ça à Atlanta à l'aller).

J'ai trouvé cette photo sur Google images. 
Nous avons dû traverser ce scanner à Detroit.

Mais avant, enlever souliers, ceintures, lunettes et tout ce que nous avons dans les poches - et j'ai l'agent de sécurité dans mon dos qui me dit:  enlève tes souliers, enlève ta ceinture... - j'étais tellement fatiguée et énervée que j'ai failli enlever mon chandail.  De l'autre côté, il faut se rhabiller, récupérer notre stock et nous ne savons toujours pas à quelle porte nous embarquons.  Nous trouvons un tableau ("just around the corner" nous dit un agent de sécurité) à environ 200 mètres qui nous indique que notre vol décolle de la porte C-28. 

Cet aéroport est aussi grand que la ville de Laval (exagération mais ça donne une bonne idée de la taille).  Escalier roulant d'environ 2-3 étages de hauteur à descendre, très long tapis roulant (j'assume pour traverser le tarmac au-dessus) avec éclairage psychédélique, un autre escalier roulant à remonter, tourner à droite pour se rendre quasiment au bout d'un long couloir qui commence par la porte C-1.  Essoufflés en arrivant à la porte d'embarquement, on s'assoit. Ouf! ils n'ont pas commencé l'embarquement. 

Jour de chance aujourd'hui!  Un appel de l'agent au comptoir qui nous annonce qu'ils ont un problème technique avec l'appareil - peut-être devront-il faire venir un autre appareil. 

Après quelques minutes, une autre annonce qui nous avise que notre départ se fera à la porte "Bravo 11", i.e. B-11.  C'est à l'autre bout!  On repart à la course - de la porte C-28 à C-1 pour arriver à la porte B-11 en sueurs (je parle pour moi).  Gentiment, on nous offre un petit snack, de l'eau et des boissons gazeuses.  "Nous sommes désolés de ce retard et du changement de porte!"

Le vol partira en fin de compte après 23 h.  Nous arrivons finalement à Montréal il est déjà minuit trente - chanceux, nous étions dans la rangée 3 - donc les premiers à sortir du petit avion (un CRJ900).  Longue marche jusqu'à Immigration Canada.  Nous sommes chez nous. 

Nous prenons un taxi pour la maison - et arrivons vers 1 h 30 du matin.  Heureux d'être arrivés sains et saufs.

Quel voyage - très longue journée qui s'achève. 

Oui le voyage est terminé, mais j'ai encore plein de choses à vous raconter!

13 mars 2013
Le dernier coucher de soleil que nous avons vu


Époustouflant











samedi 16 mars 2013

Ben! Je l'ai fait!

Quand j'ai commencé à écrire cette chronique, il ne reste que quelques jours avant le départ - en fait 2 seulement.  Cette semaine a été banale, dans le sens que nous sommes restés autour à faire des petites choses - un souper au Coin des Amis (j'en ai déjà parlé), un brunch au Marival (j'y reviendrai), et un dernier fish & chips à notre petit resto favori (les meilleurs de Bucerias), et un peu de magasinage de petits souvenirs.

C'était aujourd'hui ou l'an prochain ou l'année d'après!!!  Hé bien! je peux vous le prouver, je l'ai fait.  Ça m'a coûté 600 pesos (environ 50 $), et j'ai fait la brave. 

On attache la sangle

Sur toutes les plages, il y a toujours des vendeurs qui veulent te tenter pour toutes sortes d'activités aquatiques, dont le parasail - en français j'ai appris qu'on doit dire "parachute ascensionnel".  J'en avais envie depuis longtemps.  Alors on y va pour 5-10 minutes.

La journée n'est pas très ensoleillée aujourd'hui mais pas venteuse comme les 2 derniers jours.  Alors c'est maintenant!

Je m'informe du prix au premier hôtel (on m'avait déjà donné un prix et j'avais seulement ce montant sur moi).  Oups!  Ce vendeur me dit que c'est 100 pesos de plus.  Je n'ai pas les sous - alors on se rend à l'autre hôtel.  Je ne vois pas de parachute sur la plage - déception.  On revient en arrière pour voir quelqu'un s'élever avec MON parachute.

Comme le vendeur se rend compte que je n'ai pas de bracelet d'hôtel au poignet.  Il me demande où nous séjournons - Acqua condo.  Je les entends discuter ensemble - je ne comprends pas tout - mais je vois que ça leur crée problème.  Je pose la question.  Ils me répondent que ils seront accusés d'avoir volé un client aux autres installés en face du premier hôtel.  Ils s'énervent (entre eux), envoient des signes de main à leurs collègues plus loin, il y en a un qui s'en va leur dire que je suis là, un autre qui téléphone.  Aye! aye! aye! Caramba!  Je leur explique que c'est moi la cliente et que j'ai le choix d'aller où je veux.  Oui, je sais me dit leur chef - mais voyez-vous me dit-il, il y a des gens qui pensent autrement ici!!!  On m'explique que c'est la même compagnie partout sur la plage ici et que les gens installés à l'autre hôtel n'ont pas eu beaucoup de clients aujourd'hui, etc.  Finalement on m'attache!!!

1ère étape.  Les sangles et la ceinture de sécurité.


2e étape:   Explications.  Quand je siffle un coup,
tu tires sur la gauche.  Quand je siffle un autre coup,
tu lâches.  Si je claque des mains, tu tires à droite.

On pratique 

On m'attache au parachute.
Je vérifie si tout est fait dans les règles.

On me dit de plier les genoux
et oups on me laisse aller

Bye bye!!!

Quelle sensation de s'envoler - on entend que le bruit du vent et du moteur du bateau bien sûr.  La corde se tend - on balance dans le vent.  C'est une sensation très agréable. 

Oui, oui c'est bien moi!
Et de là-haut, nous avons une magnifique vue sur toute la baie et les montagnes qui l'entourent.  De toute beauté.  Si j'avais eu une caméra, ça aurait été fantastique.

À un certain moment, je volais à côté d'une frégate (ou plutôt une frégate volait à mes côtés) - je lui ai dis: hey, qu'est-ce que tu fais là?  Elle ne m'a pas répondu!!! 

Mai il faut revenir sur terre.  Après environ 10 minutes - c'est court.  J'entends le coup de sifflet, je tire sur la corde à gauche et après quand je suis plus près du sol, on me fait des signes en m'envoyant la main - un peu à gauche, un peu à droite - on lâche tout!!! 

Est-ce qu'ils vont m'attraper?  Oui, ça a bien été je suis de retour sur terre en douceur. 

Tire à gauche pour ne pas atterrir sur les baigneurs

J'arrive et j'espère qu'ils vont m'attraper en bas!

Pas loin du sol

Et voilà - on m'a bien rejoint et
 j'ai fait un atterrissage tout en douceur
Et si j'ai la chance un jour, je le referai sans hésiter.








lundi 11 mars 2013

Les petites bibites ne mangent pas les grosses

C'est ce que mon père me disait quand j'étais jeune.  J'avais une peur bleue des bibites rampantes, volantes et surtout piquantes...  Ça n'a pas tellement changé!
 
Mais les petites bibites de ma chronique ne piquent pas.
 
 
De la plage, tôt le matin, le soleil commence
à se montrer le bout du nez derrière les cocotiers
 
En me promenant tôt un matin, je remarque l'employé d'un hôtel voisin qui ramasse quelque chose sur le sable.  Et je vois tout plein de petites taches foncées sur le sol.  Je m'approche et je vois des dizaines de bébés tortues qui sont sorties de leur nid ce matin-là.  Elles sont transies de froid et elles ne bougent pas.  Il faut dire que ce jour-là, il faisait froid (on écrivait 14 degrés sur internet) - même moi, habituée aux températures fraîches, j'avais les doigts gelés et je les cachais dans les manches de mon chandail.
 
Tortuguitas transies de froid
Ce sont les premières que je vois cette année
On peut voir sur la photo toutes les empreintes laissées
sur le sable.
Imaginez ces pauvres petites qui essaient de trouver la mer et tournent en rond dans le sable froid.  Je me suis penchée pour en prendre une et elle a bougé ses petites pattes pour me signifier oui oui je respire toujours!  J'en ai ramassé quelques-unes.  On les mettait dans un grand seau de 20 litres - je crois qu'il devait bien y en avoir un bon 80.  Elles seront au chaud toute ensemble.  Ensuite, l'employé les a mises à l'abri près du mur et cachées de la possible manipulation des gens et je l'ai entendu téléphoner le centre de conservation pour qu'on vienne les chercher.  Probablement qu'elles seront mises à la mer ce soir-là.  

Ce même matin, en passant le balai sur notre balcon, et je ne sais pas où il était caché, mais un minuscule lézard est sorti de nulle part.  Et quand je dis minuscule, voir ci-dessous.  
 
Petit lézard trouvé sur notre balcon
C'est pas gros ça mon ami!!!
Je ne sais pas ce qu'il mange à cet âge-là;
probablement des p'tites p'tites bibites!!!

Dans l'après-midi, lors de la marche quasi quotidienne sur la plage, nous avons croisé une étoile de mer.  Elle était en train de se cacher dans le sable.  Elle s'enfonce tranquillement pour disparaître complètement.

Une étoile de mer essaie de se cacher dans le sable

Elle s'enfonce tranquillement
C'est peut-être la raison pour laquelle
on n'en voit pas beaucoup sur la plage

Nous l'avons sorti du sable et elle
a recommencé son travail d'enfouissement!

samedi 9 mars 2013

Nous sommes à pieds

Nous nous promenons peu ces derniers jours.  Il ne nous reste plus grand temps dans ce petit paradis et il nous faudra revenir sous peu chez nous. 

J'en profite le matin pour faire un tour sur la plage et m'imprégner de toute cette beauté (pas tous les matins parce que souvent la marée est trop haute et il est plus difficile de marcher dans le sable mou).

Du haut du 7e étage, à côté de l'ascenseur
le lever du soleil le 4 mars 2013

La plage au lever du soleil ce même matin du 4 mars

Lever du soleil vu de la plage

Nos vélos sont partis, ce qu'on fait maintenant, nous devons le faire à pieds - comme l'épicerie - environ 4 kilomètres aller retour.  Ou nous rendre par la plage au bar ETC. endroit où nous aimons bien aller pour nous désaltérer - environ 3 km à pieds - mais tellement agréable de faire ce chemin les orteils dans l'eau.  Ou encore le marché aux puces à Bucerias - c'est le temps d'acheter quelques petits souvenirs.  Et là, combien ça fait de km - je me demande.  Je ne l'ai jamais calculé.

Nous partons pour la Mega -
Michel avec son sac à dos et le panier



Comme chez nous à la fin du printemps
Les vendeurs de fleurs et arbustes installés
dans le stationnement du supermarché

À notre retour
Michel a son Ipod et l'épicerie!
Un petit taco avec ça?
La cantine mobile toujours dans le stationnement

Travailleurs dans la boîte du camion sur la 200
Camion en panne
les deux passagers sont couchés à l'ombre
sur le bord de la route
Ils attendaient à notre arrivée à l'épicerie,
et ils attendaient toujours environ 45-60 minutes plus tard

La route pour retourner chez nous.
On circule à pieds au centre de la rue
le trottoir est plus large
Ici nous ne sommes plus sur la 200
mais sur la route qui amène aux hôtels et condominiums
et bien sûr à la mer.

Je croyais que c'était une balle de tennis avec un smiley face
que quelqu'un avait placée en haut du cocotier pour faire rire.
Mais en y regardant de plus près,
c'est un nid d'abeilles probablement??!!
Quand même, quel travail!


La rue Lazaro Cardenas à Bucerias
Tout juste avant d'arriver au petit pont

Un mur coloré

Vu sur un autre mur

Les joueurs de dames au marché aux puces


Regardez avec quoi ils jouent!
Des bouchons de bouteille de bière en guise de pions.
Ils ont installé leur table de jeu sur une vieille glacière.


Une catrina


En nous promenant à Bucerias, je suis entrée dans une boutique à la recherche de petits souvenirs.  En encore une fois, je vois ce mannequin grandeur nature - visage de squelette et habillé comme pour aller à une soirée.  J'ai posé la question à savoir le pourquoi de ces poupées qu'on voit partout.  On m'a donné une explication que je suis allée vérifier sur Wikipédia.  



Le mot « catrina » est la déclinaison féminine de « catrín », qui signifie « dandy» au Mexique.
Ce personnage, créé par l'artiste mexicain José Guadalupe Posada en 1912,  représentant un squelette de femme portant un chapeau très élégant, venant en général de fabricants européens, distinctif de la bourgeoisie porfirienne (sous la présidence de Porfirio Diaz), a une fonction de memento mori (signifie: souviens-toi que tu mourras) destiné à rappeler que les différences de statut social n'ont aucune importance face à la mort. 








Vu dans le menu d'un resto sur la plage
Dans la section Sandwiches, on peut voir
qu'ils font de la poutine!!!
Nous ne l'avons pas essayée.

Coucher de soleil le 5 mars 2013